Les Moutons Enragés est un site français alternatif et indépendant d’actualité, administré par deux moutons très enragés et leur équipe de bénévoles. Qui sont ces deux moutons ?
Nous sommes deux moutons non pas enragés mais très enragés qui en avons marre de tous ces petits secrets de l’actualité, nous méritons d’avoir une meilleure info, vous aussi. Nous ne sommes pas journalistes, sociologues, politologues ni analystes financiers, nous sommes de simples internautes passionnés par l’information en général avec une petite tendance à chercher la petite bête voire à « touiller la merde »! Deux caractères, deux styles :
Voltigeur : grande rebelle qui peut se montrer aussi délicate qu’un barbecue au napalm ou une séance de jardinage à la tractopelle (surtout si on la cherche), son domaine de prédilection est tout ce qui touche aux secrets quelle que soit l’organisation visée. Généreuse, incisive, franche et entière, elle est un pilier incontournable du blog et du forum. N’oublions pas également sa nature écolo, voire même complètement verte (non j’ai pas dit extra-terrestre), révolutionnaire et pleine de sagesse.
Moi : Grand curieux qui préfère l’info dans la rigolade que le sérieux dans la déprime, si un jour j’annonce la fin du monde cela sera avec un jeu de mot bien pourri, le message restera quand même suffisamment clair pour que vous puisiez vous planquer. Je suis l’organisateur du trouble ambiant sur le blog et le forum, le fouteur de bordel, l’administrateur pour les puristes. Un peu barge, révolté de la dernière heure (Merci Voltigeur), curieux et utopiste complet avec malgré tout, les pieds bien sur terre.
Notre but : faire passer l’information avant tout, quel que soit le moyen, le principal étant que l’information circule. Même si la plupart des articles sont piochés à gauche et à droite, voire à l’extrême gauche et logiquement « du même côté inverse à droite parallèlement à la gauche », l’information est de toute manière généralement vérifiée et vérifiable. Faire passer l’info, c’est une bien belle chose, mais elle est vaine si le cri lancé n’est entendu par personne, n’hésitez pas à nous laisser vos avis, questions, remarques et précisions dans les commentaires.
Le site est classé 2 431e en France, en octobre 2015.
Alternatives economiques
Alternatives économiques a été fondée par l’économiste Denis Clerc en réaction au slogan « There is no alternative » de Margaret Thatcher. Depuis le premier numéro de novembre 1980 tiré à 2 000 exemplaires, ses ventes ont continuellement augmenté pour atteindre aujourd’hui plus de 1 000 000 exemplaires/an. Alternatives économiques a un chiffre d’affaires de plus de sept millions d’euros. 
En 2012, la société était déficitaire d’environ 73 000 euros.

Le journal n’est pas adossé à un groupe de presse et vit principalement de ses ventes. Il reçoit néanmoins des aides directes de l’État français à hauteur de 29.736 € pour l’année 2014 (142.702€ en comptant les aides indirectes).

Sur le plan juridique, Alternatives économiques est une Société coopérative et participative (Scop). En conséquence, elle appartient à ses salariés. Une association de lecteurs et une société des lecteurs se sont aussi constituées autour de la revue.
En 1995 la revue lance la Lettre de l’insertion par l’activité économique traitant des questions d’emploi, de chômage et d’insertion des personnes en difficulté sur le marché du travail. Puis, son activité s’est étendue avec la publication du magazine Alternatives internationales, en coopération avec l’hebdomadaire Télérama la première année, avec Libération entre 2007 et 2010, puis seul après cette date. La coopérative édite aussi le trimestriel L’Économie politique contenant des articles de recherche en économie.

Proche du keynésianisme, Alternatives économiques traite également des thèmes altermondialistes et se montre critique vis-à-vis du néolibéralisme et de l’école néoclassique. Le journal revendique explicitement une ligne éditoriale « de gauche ».

Le site est classé 3 977e en France, en octobre 2015.





RussEurope est le carnet de Jacques Sapir, économiste français, qui a pour fonction de rendre accessible ses travaux, qu’il s’agisse de working papers, de note de positionnement ou de notes brèves, portant sur l’économie européenne et sur la Russie. Il comprend des textes qui portent à la fois sur la crise de l’Euro et les origines de cette crise et sur l’économie de la Russie (depuis les problèmes macroéco- nomiques jusqu’à ceux de l’économie régionale, en passant par la finance).

Diplômé de l’IEPP en 1976, Jacques Sapir a soutenu un Doctorat de 3ème cycle sur l’organisation du travail en URSS entre 1920 et 1940 (EHESS, 1980) puis un Doctorat d’État en économie, consacré aux cycles d’investissements dans l’économie soviétique (Paris-X, 1986).

A enseigné la macroéconomie et l’économie financière à l’Université de Paris-X Nanterre de 1982 à 1990, et à l’ENSAE (1989-1996) avant d’entrer à l’ École des Hautes Études en Sciences Sociales en 1990. Il y est Directeur d’Études depuis 1996 et dirige le Centre d’Études des Modes d’Industrialisation (CEMI-EHESS). Il a aussi enseigné en Russie au Haut Collège d’Économie (1993-2000) et à l’Ecole d’Économie de Moscou depuis 2005.

Il dirige le groupe de recherche IRSES à la FMSH, et co-organise avec l’Institut de Prévision de l’Economie Nationale (IPEN-ASR) le séminaire Franco-Russe sur les problèmes financiers et monétaires du développement de la Russie.

Le site est classé 2 539e en France, en octobre 2015.





Les Crises est un blog d’information économique animé par l’association DiaCrisis depuis 2011. Blog fondé par Olivier Berruyer, diplômé de l’Institut de Science Financière et d’Assurances et de l’EM-Lyon, actuaire, profession chargée de la gestion du risque dans l’assurance et la finance.

Il a pour buts la recherche, l’information et l’éducation du public à propos des crises de toute nature auxquelles est ou sera confrontée notre Société et l’amélioration des moyens dont elle dispose pour les comprendre, en diminuer l’ampleur et les gérer. S’opposant aux économistes, qui selon lui sont trop centrés sur leur domaine et sur des modèles mathématiques, il attribue les crises à leur aveuglement et à celui des hommes politiques, qui croient à une croissance qu’il juge impossible.

Le site est classé 2 862e en France, en octobre 2015.





News360x, un autre regard sur l’actualité.

Ne soyez pas que des spectateurs, soyez acteurs de votre vie. Prenez l’info entre vos mains avec News360x.

Le site a été fondé en 2012 par un certain Mickael. Je n’ai pas trouvé beaucoup d’informations sur News360x.

Si vous avez plus d’informations, merci de m’en faire part pour mettre à jour cet article.

Le site est classé 4 720e en France, en octobre 2015.





Acrimed (Action critique Médias ») est une association française de critique des médias, proche de la gauche antilibérale, créée en 1996 à l’initiative d’ Henri Maler et de quelques autres dont Patrick Champagne, sociologue, dans la foulée du mouvement social de novembre et décembre 1995 et dans le sillage d’un appel à la solidarité avec les grévistes, en réponse à la façon dont les grands médias auraient pris parti contre ce mouvement et neutralisé l’expression de ses acteurs.

Auto-constituée en « Observatoire des médias », attentive à la vérification des faits, Acrimed réunit des journalistes et des salariés des médias, des chercheurs et des universitaires, des acteurs de la vie associative et politique. Association adhérente d’Attac jusqu’en 2008, Acrimed s’inscrit dans le mouvement altermondialiste.

Depuis octobre 2011, Acrimed publie par ailleurs une revue papier trimestrielle, le magazine Mediacritique(s).

L’association résume ses objectifs en quatre points : « informer, contester, proposer, mobiliser ». Acrimed se donne pour but « d’intervenir publiquement, par tous les moyens à sa disposition, pour mettre en question la marchandisation de l’information, de la culture et du divertissement, ainsi que les dérives du journalisme quand il est assujetti aux pouvoirs politiques et financiers et quand il véhicule le prêt-à-penser de la société de marché. »

S’appuyant sur les analyses critiques d’économie et de sociologie des médias et du journalisme — et notamment sur les travaux de Pierre Bourdieu et Noam Chomsky —, l’association se donne pour objectifs d’ « informer sur l’information », sur son contenu et sur les conditions de sa production, ainsi que d’analyser les effets de la subordination des métiers du journalisme aux pouvoirs économiques qui dominent les médias et aux pouvoirs politiques qui les maintiennent sous tutelle.

Selon Acrimed, cette situation explique largement la transgression répétée des règles de la déontologie journalistique. Parmi les cibles de l’association, on retiendra la critique de toutes les formes de connivence pratiquée par une minorité de journalistes qui occupent les sommets de la profession, ainsi que la contestation des « intellectuels médiatiques » dont elle déplore l’omniprésence dans les médias, laquelle omniprésence générerait un appauvrissement de la pluralité des points de vue.

Le site est classé 6 130e en France, en octobre 2015.





Réseau Voltaire International est un réseau de presse non-alignée, spécialisé dans l’analyse des relations internationales, créé à l’initiative de l’intellectuel français Thierry Meyssan.

Issus de familles politiques, de milieux sociaux et de cultures variés, les membres du Réseau Voltaire se reconnaissent dans les dix principes énoncés en 1955 par la conférence de Bandung.

Le Réseau Voltaire pour la liberté d’expression est une association à but non lucratif française, fondée en 1994 au Parlement européen et dissoute en 2007. Selon ses statuts, son but était « la promotion de la Liberté et de la Laïcité » et « l’émancipation des individus face aux dogmes et aux empires ». Au début des années 2000, elle se présente comme « réseau de presse non-alignée ». À partir de 2002 et de la publication du livre L’Effroyable Imposture par son président Thierry Meyssan, le Réseau Voltaire se fait le diffuseur des théories du complot sur les attentats du 11 septembre 2001. L’association est dissoute en France en 2007, et installe ensuite ses moyens médiatiques au Liban. Le Réseau Voltaire prend alors officiellement le nom de Réseau Voltaire International. Thierry Meyssan devient politiquement proche de l’Iran, du Hezbollah et du gouvernement syrien de Bachar el-Assad.

Au cours du second trimestre 2011, Voltairenet.org a reçu en moyenne 1 464 475 visites par mois, provenant de 760 524 IP distinctes, et affichant 6 833 917 pages. Plus de la moitié des visiteurs résident en France, aux États-Unis, au Mexique et en Espagne. 25 % des visiteurs ont moins de 34 ans, 6 % seulement ont entre 35 et 54 ans, 69 % ont plus de 55 ans. Plus de la moitié des visiteurs ont un diplôme universitaire. Le site est classé 4 343e en France, en octobre 2015.



Politis est un hebdomadaire français d’actualités, dont la rédaction est dirigée par Denis Sieffert depuis 1996. Fondé en 1988 par Bernard Langlois et d’autres journalistes parmi lesquels Jean-Paul BessetMichel Naudy, Rémy Galland. Il traite d’actualité politique et sociale et se réclame de la gauche antilibérale et écologiste. Ce journal est membre fondateur de l’association Attac-France. Par ailleurs, Politis se dit attaché à la « défense des services publics et des biens communs de la société » » et refuse le « marché omnipotent où tout s’achète et tout se vend » ainsi que l’idéologie du choc des civilisations.

Le journal est désormais édité par la SAS Politis, une société par actions simplifiée au capital de 446 000 euros. Parmi ses actionnaires, on retrouve l’association « Pour Politis » (65 % du capital), ainsi que Christophe Kantcheff, Denis Sieffert, Pascal Boniface, Laurent Chemla, Valentin Lacambre et Jean-Louis Gueydon de Dives.

L’association « Pour Politis » s’est créée afin de sauver le journal en 2006. L’association compte 1 500 lecteurs adhérents. Elle a permis de recueillir 941 000 € auprès de lecteurs.

En 2014, l’hebdomadaire et l’association Pour Politis lance une campagne d’abonnements afin de pérenniser le journal. Avec un déficit de 99 000 euros pour l’année 2013 « presque entièrement imputable à la vente au numéro, alors que les abonnements se maintiennent et que les abonnements web, encore marginaux, progressent doucement », Politis affirme avoir besoin de 800 nouveaux abonnés pour ne pas connaître une nouvelle crise.

En 2013, le site Internet de l’hebdomadaire et les blogs génèrent chaque mois 250 000 visiteurs uniques soit 9 400 visiteurs par jour. Le site est classé 8 354e en France, en octobre 2015.





L’agence Info Libre est une équipe composée de sept journalistes amateurs et indépendants et d’un dessinateur cherchant à créer une agence de presse. Son objectif est de remettre au premier plan les informations les plus importantes pour nous tous.

Les médias « mainstream » ne remplissent plus, selon eux, leur fonction d’informateur auprès du grand public et ne respectent plus aucune forme de déontologie, étant au service d’intérêts financiers supérieurs. C’est pourquoi l’Agence Info Libre tente, humblement, de « reprendre le flambeau » de l’information sur la scène nationale et internationale. Ils estiment que la liberté d’expression est sacrée et que toute opinion, quelle qu’elle soit, a sa place dans le débat public (dans le respect de la loi). Ils ne se ferment à aucun sujet et ils tentent de donner la parole à un maximum de personnes avec pour objectifs l’impartialité et l’ouverture des perspectives de réflexions.

L’intégralité de l’équipe de l’Agence Info Libre s’engage à respecter les dix points de la charte de Munich, déontologie fondamentale du journaliste.

Le site est classé 6 176e en France, en octobre 2015.





Paul Jorion est titulaire de la chaire « Stewardship of Finance » à la Vrije Universiteit Brussel. Il est également chroniqueur aux quotidiens Le Monde, L’Écho et aux magazines Trends-Tendanceset Imagine. Il fait partie du Haut comité pour l’avenir du secteur financier belge ainsi que du Groupe de réflexion sur l’économie positive dirigé par Jacques Attali. Il est diplômé en sociologie et en anthropologie sociale (Docteur en Sciences Sociales de l’Université Libre de Bruxelles). Il a enseigné aux universités de Bruxelles, Cambridge, Paris VIII et à l’Université de Californie à Irvine. Il a également été fonctionnaire des Nations-Unies (FAO), participant à des projets de développement en Afrique.

Paul Jorion a travaillé de 1998 à 2007 dans le milieu bancaire américain en tant que spécialiste de la formation des prix. Il avait préalablement été trader sur le marché des futures dans une banque française. Il a publié un ouvrage en anglais relatif aux répercussions pour les marchés boursiers de la faillite de la compagnie Enron : Investing in a Post-Enron World (McGraw-Hill 2003). Il a publié, La crise du capitalisme américain (La Découverte 2007 ; Le Croquant 2009), L’implosion. La finance contre l’économie : ce que révèle et annonce « la crise des subprimes » (Fayard 2008), La crise. Des subprimes au séisme financier planétaire (Fayard 2008), L’argent, mode d’emploi(Fayard 2009), Comment la vérité et la réalité furent inventées(Gallimard 2009), Le prix (Le Croquant 2010), Le capitalisme à l’agonie (Fayard 2011), La guerre civile numérique (Textuel 2011),Misère de la pensée économique (Fayard 2012) et La survie de l’espèce (Futuropolis/Arte 2012) avec Grégory Maklès.

Ses ouvrages les plus récents sont Comprendre les temps qui sont les nôtres (Odile Jacob 2014) et Penser l’économie autrement(Fayard 2014) avec Bruno Colmant. Penser tout haut l’économie avec Keynes paraîtra en septembre 2015.


Le site est classé 7 892e en France, en octobre 2015.





OJIM, L’Observatoire des journalistes et de l’information médiatique est association loi 1901, on y retrouve « un groupe de citoyens intéressés par le monde de l’information, son évolution, son influence, et ses dérives » dont Claude Chollet, ancien directeur international des Laboratoires Beaufour-IPSEN International.

« L’idée était dans l’air depuis longtemps mais elle était désincarnée, sans porteur de projet », analyse-t-il, alors que le très gauchiste Acrimed peine et que Robert Ménard « réfléchit à quelque chose » pour remplacer le trimestriel Médias qu’il arrête. Son objectif ? « Informer sur ceux qui nous informent ». Parce qu’« une meilleure connaissance du monde journalistique et des médias favorise une véritable démocratie et une éthique civique ».

En effet, « le quatrième pouvoir est devenu le premier pouvoir. Celui qui fait et défait les réputations. Celui qui modèle l’opinion », explique la rubrique « Qui sommes-nous ? » du site de l’observatoire. « Assailli par des milliers de messages, le lecteur, l’auditeur, le spectateur est souvent dans un état de sidération. Nous souhaitons l’aider à prendre du recul, à mieux comprendre d’où vient l’information et comment elle peut parfois être filtrée ou biaisée. »

Projet « d’intérêt général » selon son fondateur, l’OJIM propose des informations et des décryptage sur l’actualité des médias. Déjà dix portraits de stars du paysage audiovisuel français (avec « parcours militant » et revenus) ont été mis en ligne sur le site de l’observatoire dont ceux de Pascal Clark, Nicolas Demorand, Thomas Legrand,Yves Calvi, Joseph Macé-Scaron…« 50 autres sont sur le feu », indique Claude Chollet. Une infographie sur les réseaux médiatique est aussi en cours de réalisation.

Un projet vraiment ambitieux, donc, avec un rédacteur en chef, un webmestre et des rédacteurs rémunérés. « Participatif » aussi, précise Claude Chollet. L’OJIM ne dépend que de dons de particuliers.L’observatoire à lancé une pétition pour demander la réintégration de Robert Ménard, fondateur de Reporters sans frontières, à Itélé.

Le site est classé 10 819e en France, en octobre 2015.



Investig’Action, c’est le collectif qui anime le site michelcollon.info. Leur newsletter vous propose chaque semaine des articles venus du monde entier, des vidéos à contre-courant et aussi des test – médias vous aidant à décoder l’info. La voix de ceux qu’on n’entend pas dans les médias traditionnels. La voix des sans-voix.

Ce collectif réalise aussi des livres comme Israël, parlons-en !, Les 7 péchés d’Hugo Chavez, La Stratégie du chaos (Impérialisme et islam)… et des films documentaires comme Bruxelles – Caracas, Les Damnés du Kosovo, et bientôt un film sur l’Afrique. « Soucieux d’aller à la rencontre des gens, nous participons à de nombreux débats, animons un forum et organisons également des séminaires de formation. »

Leur but ? Mettre en pratique ce que revendiquait l’écrivain Jean-Paul Sartre : « On croit que la liberté d’information, le droit à la liberté de la presse, c’est un droit du journaliste. Mais pas du tout, c’est un droit du lecteur du journal. C’est-à-dire que ce sont les gens qui ont le droit d’être informés. Ce sont les gens qui travaillent dans une entreprise, dans un chantier, dans un bureau qui ont le droit de savoir ce qu’il se passe et d’en tirer les conséquences. »

Le site est classé 12 298e en France, en octobre 2015.





Le Saker Francophone est un groupe de citoyens francophones qui désire faire partager au public francophone des analyses venues du monde entier et exprimées dans d’autres langues. Rendre accessible la pensée dissidente où qu’elle se trouve.

« Ce site est une émanation du Saker US mais avec notre propre sensibilité francophone. »

« Nous n’avons pas besoin de vos dons, nous sommes tous bénévoles, mais vos talents sont bienvenus si vous avez des dispositions pour la traduction (anglais, allemand, russe, etc.) et aussi pour la relecture en Français. »

Le site est classé 12 302e en France, en octobre 2015.




Inform’Action est une plateforme de veille médiatique citoyenne collaborative et indépendante. C’est une association citoyenne loi 1901, situé à Toulouse, visant à rendre le spectateur « acteur » de son information.

Inform’Action est né, en juillet 2013, de la volonté d’une dizaine de bénévoles souhaitant se réapproprier l’information d’une manière innovante, juste et ouverte. Un concept inédit en France : une plateforme internet à travers laquelle chaque personne peut proposer, sélectionner et valoriser l’information.

Cette information est ensuite diffusée sur différents canaux : réseaux sociaux, émissions vidéos, journaux mensuels, et DVDs, distribués à « Prix Libre » dans une trentaine d’enseignes partenaires et lors d’actions publiques.

L’objectif est que chaque individu, qui s’est engagé à respecter la charte de l’association, peut suggérer du contenu sur le site. Par la suite, la communauté modère les différentes suggestions ce qui amène à la diffusion ou non des contenus (voir partie fonctionnement).

Son but est de rendre le citoyen plus critique vis à vis de ce qu’il visionne, lit ou entend, en proposant un relais d’informations issues d’une veille médiatique approfondie.

L’association ne fonctionne que grâce au bénévolat, aux adhésions et à la vente de DVD à prix libre.

A travers ses outils de communication et ses actions dans l’espace public, l’association tente de mettre en place un outil participatif relayant l’information choisie par des citoyens pour des citoyens, allant dans le sens du bien commun.

Plus d’informations sur l’association Inform’Action dans notre article de juillet 2015.

Le site enregistre plus de 10 000 vues par jour et est classé 12 434e en France, en octobre 2015.




Arrêt sur Info est un journal en ligne d’information et d’opinion.

Arrêt sur Info, fondé le 19 juillet 2014, entend offrir un ensemble d’informations, d’analyses et d’opinions, axées principalement sur les conflits et les guerres, en défense du respect du droit international.

Son ambition est d’offrir une information libre, honnête et indépendante de tout pouvoir politique ou financier en respectant le code éthique de la profession de journaliste; contribuer au développement d’un libre débat et à construire un monde plus humain.

Arrêt sur Info a été fondé par Silvia Cattori, journaliste indépendante, de nationalité suisse et de langue maternelle italienne.


Le site est classé 14 173e en France, en octobre 2015.





Les Econoclastes est un think tank économique avec Benjamin Louvet, Jacques Sapir, Nicolas Meilhan, ou encore Steen Jakobsen dans l’équipe.

« Les Econoclastes naquirent spontanément d’une volonté commune, la volonté de tout dire, de ne rejeter aucune hypothèse par principe, d’écouter, d’échanger, d’observer les faits plus que les discours pour construire des grilles de lecture nouvelles, quitte à bousculer les idées reçues martelées pourtant par tous afin de formuler des préconisations tout aussi singulières qu’inattendues.

Parce que nous sommes convaincus qu’une société qui se construit sans donner les moyens à ses citoyens de contribuer à la définition de ses fondations ne peut que provoquer des ruptures de plus en plus violentes, des relations humaines plus chaotiques et une ruine certaine.

Convaincus individuellement par ce principe, nous avons décidé de créer la communauté des Econoclastes pour réfléchir ensemble et vous faire part -à la lumière de nos expériences de terrain sur les 5 continents- de nos évaluations des politiques économiques mises en place, non seulement en France et chez nos principaux partenaires mais au-delà. Nous étudierons leurs interactions et les conséquences que celles-ci auront sur vos vies et vos patrimoines. Nous vous proposerons des alternatives, des projets et des débats. Nous serons une force de proposition en ébullition constante.

Nous décrypterons l’actualité quotidienne en faisant table rase des discours jargonneux pour vous parler franchement, avec un objectif affirmé : « Vous permettre de transformer vos intuitions en convictions, puis vos convictions en décisions profitables.. ». »

Le site est classé 16 712e en France, en octobre 2015.





Panamza est un site d’information subversives par Hicham Hamza.

Il a écrit sur le Crif, dans Politis, et travaillé pour la Télé libre et Bakchich. Puis, il a publié un livre numérique sur le 11 Septembre. Dans ce livre, il suggère que l’Etat d’Israël a participé aux attentats.

Le site est classé 16 935e en France, en octobre 2015.





Reflets fait le pari de devenir le reflet d’une société, des individus qui la composent. De leurs interrogations, de leurs inquiétudes, mais surtout, de leurs espoirs. Des espoirs de démocratie, de partage, de solidarité, de bien-être et de tant d’autres choses.

Reflets.info est le point de rencontre entre des journalistes, des hackers et ceux qui se sentiront concernés par notre démarche. Des journalistes car ils sont des médiateurs, des porte-voix, des poils à gratter. Des hackers parce qu’ils sont ceux qui comprennent ce réseau qui héberge Reflets.info. Ils sont les mieux placés pour analyser les enjeux de son développement.

Le site est né d’un constat. Celui d’une presse qui s’auto-détruit. Dans une course effrénée à l’immédiateté, les journaux négligent la réflexion, ne prennent plus le temps d’analyser les faits, d’en tirer des enseignements, encore moins de faire de la prospective. Il faut être le premier à répercuter une information. Quitte à la développer au fil de la journée. Cette démarche pose un petit problème : une information chasse l’autre en permanence. In fine, rien n’est approfondi. Quant au droit de suite, il est marginal, peut-être même inexistant.

Par ailleurs, la presse perd des lecteurs. Elle a une recette pour s’en sortir, toujours la même depuis des années. Preuve qu’elle ne fonctionne pas très bien, dans la mesure où les lecteurs continuent de diminuer. La solution est généralement de réduire les contenus, d’augmenter la place de la publicité et le prix de vente. Les sites Web d’information se transforment peu à peu en arbres de noël clignotants, l’apparence prend le pas sur le contenu, les textes s’affadissent, de peur de heurter tel ou tel annonceur, tel ou tel actionnaire.

Les fondateurs de Reflets.info estiment au contraire qu’une plus grande part doit être donnée aux contenus, à la réflexion, à l’analyse, à l’opinion, à la prospective.

« Notre ambition est de rendre sa valeur à l’information. Nous voulons l’analyser, la mettre en perspective, la remettre dans un contexte et pouvoir faire de la prospective. Fournir ce genre de contenus, c’est avant tout vous respecter, vous, les lecteurs. » Vous pouvez lire l’article qui annonçait l’arrivée de Reflets.info sur le Web pour en savoir un peu plus.

Le site est classé 18 400e en France, en octobre 2015.





Rebellyon est un media alternatif, participatif et collaboratif à Lyon géré par un collectif autonome. Il n’est pas composé de professionnels des médias, mais d’individus bénévoles et militants. Il s’inscrit au sein du mouvement anti-autoritaire lyonnais.

Le collectif fonctionne de manière autogérée, sans chef, ni patron, ni porte-parole, les membres du collectif se répartissent les tâches librement. Les décisions sont prises au consensus.

Le site est classé 19 093e en France, en octobre 2015.




Le 4ème singe est un site d’information bénévole et indépendant ayant pour objectif d’éclairer les citoyens sur le monde dans lequel nous vivons, mais aussi sur les alternatives possibles.

Son but étant de partager du contenu sur une diversité de sujets, afin de faire réfléchir et de pointer les différents problèmes et les différentes injustices produites par notre système actuel. Ainsi, il relaie des informations lui paraissant pertinentes tout en produisant ses propres contenus. De plus, il aspire à un fonctionnement participatif de la part de ses lecteurs afin d’enrichir sa réflexion par leurs critiques et le partage de leurs propres informations.

Le site est classé 27 591e en France, en octobre 2015.





Dedefensa est un site d’analyse crisique.

« Le 11 septembre 2015, dedefensa.org a inauguré une nouvelle formule, une nouvelle présentation, en transformant une mise en page vieille de près de dix ans. Nous avons choisi le 11 septembre pour cette opération, et l’on comprend qu’il s’agit d’un symbole et que ce symbole n’est pas gratuit. Lancé en 1999 comme une extension de la Lettre d’Analyse dedefensa & eurostratégie (dd&e) existante depuis septembre1985, le site a évidemment beaucoup évolué. Pour nous, 9/11 a ouvert une nouvelle période historique, et même métahistorique, en transformant la politique en un phénomène crisique permanent. Dans sa nouvelle formule, dedefensa.org achève sa transformation en un site d’analyse crisique permanent, appréciant la situation générale du point de vue de ses crises qui en constituent la principale manifestation, et à partir d’un point de vue qui cherche le plus possible une référence métahistorique.

Le site ayant beaucoup évolué dans ses conceptions, dans la définition de son orientation, dans l’approche opérationnelle de son travail, nous avons eu plusieurs épisodes de présentation qui correspondent évidemment à cette évolution. Nous nous sommes définis d’abord comme des “antimodernes”, ce que nous restons selon cette définition du 21 juillet 2007. Une définition beaucoup plus complète du site, de son historique, de la personnalité et de l’origine de Philippe Grasset qui l’anime, peut être trouvé dans le texte de l’“A propos” tel qu’il se trouvait sur le site en date du 2 novembre 2005. D’autres textes, répondant à des préoccupations de lecteurs, peuvent être utilisées comme références également, notamment les 4 octobre 2006, 25 août 2007 et 3 septembre 2007. Enfin, pour avoir une vision très complète et complètement réactualisée, et correspondant à la nouvelle formule du site, on consultera le Glossaire.dde du 6 avril 2015, texte fondamental pour définir dedefensa.org, et éventuellement la Chronique du 19 courant… du 19 août 2015.

Le site est classé 28 877e en France, en octobre 2015.




L’âge de faire témoigne des expériences alternatives en matière de réappropriation de l’économie, de création de lien social, d’écologie et d’engagement citoyen. Son credo : offrir à ses lecteurs des outils qui leur permettront de mettre en œuvre leurs idées. Il tire à 30 000 exemplaires, est distribué au niveau national et compte près de 12 000 abonnés.

L’âge de faire ne dépend que de ses lecteurs. Son indépendance financière (ni subventions, ni publicité) repose sur un mode de diffusion original. Depuis son lancement, des particuliers, magasins, associations… achètent chaque mois un certain nombre d’exemplaires, qu’ils revendent parmi leurs connaissances, déposent dans un commerce ou un lieu public. Il est aussi vendu sur les foires et salons par un réseau de sympathisants. C’est grâce à ces soutiens que L’âge de faire s’est fait connaitre et a fidélisé ses lecteurs. Nous cherchons aujourd’hui à organiser et consolider ce réseau de distribution, en couvrant le territoire de façon plus homogène.

Fondé en 2005 par l’association L’âge de faire, présidée par Alain Duez, le journal a été repris en septembre 2011 par une Sarl Scop (Société coopérative de production). Les six salariés détiennent la majorité des voix et du capital au sein de l’entreprise. Ils décident ensemble du contenu et de la gestion du journal.

Leurs bureaux sont à Peipin, proche de Sisteron, et à une cinquantaine de kilomètres de Manosque dans les Alpes-de-Haute-Provence.

Ils reçoivent toujours avec plaisir les lecteurs de passage qui viennent partager leur casse-croûte de midi !

Le site est classé 29 520e en France, en octobre 2015.





Le Cercle des Volontaires est un collectif de citoyens engagés pour une information libre et indépendante, pour l’unité des citoyens et pour le débat démocratique sur les alternatives possibles au système actuel et à ses nombreuses dérives (inégalités croissantes, guerres injustifiables, corruption des élites, non-cohésion nationale, matérialisme, individualisme…)

Sa devise, « Ce qui nous unit est plus fort que ce qui nous divise », signifie qu’il se situe au delà des clivages habituels (politiques, religieux, sociaux, culturels, …)

Ses fondateurs souhaitent vivre au sein d’un peuple souverain, dans une nation libre et indépendante. En cette période de Choc des Civilisations et de risque de guerre mondiale, ils souhaitent participer pleinement au camp de la Paix et de la Justice.

Dans leur démarche journalistique, ils s’attachent à poursuivre sans relâche leur quête de Vérité, quelles qu’en soient les conséquences.

Le site est classé 30 176e en France, en octobre 2015.





Fakir est un journal d’enquête sociale. Il n’est lié à aucun parti, aucun syndicat, aucune institution. Il est faché avec tout le monde ou presque.

Basée à Amiens, l’association Fakir existe depuis 1999. Lié à aucun parti, aucun syndicat, aucune institution, son journal est entièrement rédigé et illustré par des bénévoles.

Au départ (en 1999), Fakir n’était conçu que comme une aventure éphémère, un baroud d’honneur et voué à l’échec contre la communication municipale à Amiens : il s’agissait de démolir le JDA, le Journal Des Amiénois.

Le site est classé 40 429e en France, en octobre 2015.





Le Taurillon, magazine eurocitoyen, est une publication des Jeunes Européens – France. Il est pour une Europe citoyenne, démocratique et fédérale.

Les Jeunes Européens – France, la branche française de la JEF-Europe, rassemble les jeunes désireux d’agir en faveur de la construction d’une Europe fédérale.

Le nom du magazine est une référence à la légende d’Europe, princesse phénicienne que Zeus, ayant pris la forme d’un taureau, aurait emmené jusque dans la partie du monde aujourd’hui connue sous le nom d’Europe.

Le Taurillon est donc l’enfant du taureau. Il représente la jeunesse des promoteurs du site mais aussi leur volonté d’adopter un point de vue volontariste et combatif sur l’avenir de l’Europe, alors que la plupart des pro-européens se montrent généralement timorés face aux critiques et aux mensonges de leurs adversaires.

Le Taurillon n’a pas vocation à être le propagandiste des institutions européennes ni de nos gouvernants mais au contraire s’efforce de mettre les points sur les « i » et de démontrer comment l’Europe doit se réformer en profondeur pour devenir à la fois plus efficace et plus démocratique.

Les articles publiés sur le site ne reflètent pas nécessairement les positions des Jeunes Européens France.

Le site est classé 41 163e en France, en octobre 2015.





Diktacratie dénonce un régime hybride dans lequel nous vivons tous, combinant un semblant de démocratie et une vraie soumission aux diktats économiques et idéologiques d’une oligarchie. Un pays inféodé dans un monde soumis à la dictature des marchés, du mensonge et de la manipulation. Une mystification destinée à contenter le peuple pour mieux le dépouiller.

Ce site découle d’un livre, fruit d’un gros travail d’enquête et de recherche, et offre une conclusion qui réhabilite fondamentalement la démocratie et le pouvoir au peuple grâce à une réforme en profondeur.

Cette réforme viendra de vous, de nous. Mais pas spontanément comme l’idéalisaient certains anarchistes ! Elle sera avant tout le fruit de réflexions et de débats permanents avec tous afin de réagir le plus efficacement contre cette diktacratie et de promouvoir de la plus souveraine des manières les bases d’une vraie démocratie.

Le but de ce site est de décrypter le fonctionnement de l’oligarchie sous toutes ses formes, de montrer son influence, sa perversité, ses vices, son adaptabilité, son action sur nos vies quotidiennes mais aussi dans l’Histoire.

Le but est également d’analyser ses réussites et ses échecs, d’anticiper sur les coups qu’elle prépare en fonction des opportunités ou des menaces pesant sur elle.

Le site est classé 80 142e en France en octobre 2015.





The Conversation est un nouveau média en ligne d’information et d’analyse de l’actualité indépendant, qui publie des articles grand public écrits par les chercheurs et les universitaires.

The Conversation France est une association à but non lucratif (loi 1901). Cette association a pour objet de favoriser les rapprochements entre le journalisme et l’enseignement supérieur et la recherche, afin de proposer à un large public une information indépendante, fondée sur la connaissance et l’expertise.

The Conversation a été lancé en Australie en mars 2011, au Royaume-Uni en mai 2013, aux États-Unis en novembre 2014, en Afrique en juin 2015 et en France en septembre 2015.

« Notre équipe de journalistes expérimentés travaille en collaboration avec les universités et les instituts de recherche afin de diffuser leur savoir vers le plus grand nombre. L’accès à un journalisme d’expertise authentique et de qualité est un des piliers de la démocratie. Notre objectif est de permettre une meilleure compréhension de l’actualité et des sujets les plus complexes. Dans l’espoir d’alimenter un débat public de meilleure tenue.

Nous avons établi de nouveaux protocoles et de nouvelles règles afin d’aider à rebâtir la confiance envers le journalisme de qualité. Tous nos auteurs et nos journalistes ont signé notre Charte éditoriale. Et tous nos contributeurs doivent respecter la Les Règles de notre Communauté. Nos auteurs n’écrivent que sur les sujets de leur champ d’expertise, précisé dans le cadre de leur article. Les sources de financement de nos auteurs doivent être rendues publiques, pour éviter les conflits d’intérêts. Si ces règles ne sont pas respectées, les auteurs pourront être interdits de publication sur le site.

Nous croyons à un accès libre à l’information. The Conversation est une plateforme gratuite, pour les lecteurs (nous n’aurons jamais de paywall) tout d’abord mais aussi en ce qui concerne la republication sousCreative Commons. Tout ce que vous devez faire est de suivre nos règles simples
Nous sommes également devenus une source d’information indispensable pour les médias, produisant des articles de qualité gratuits pour tous et alimentant la presse écrite, les sites, la radio ou la télévision en nouvelles idées et en nouveaux talents à suivre.

Un grand merci à nos partenaires fondateurs : l’Institut Universitaire de France, Paris Sciences & Lettres Research University, Sorbonne Paris Cité, l’Université de Lorraine, l’Université Paris Saclay et une liste de plus en plus importante d’institutions membres qui fournissent leur soutien financier.

Notre rédaction travaille à Paris, et fait partie d’une salle de presse mondiale en mesure de partager du contenu entre les sites et dans le monde entier. »





VoxEurop est un site d’actualité et de débats sur les affaires européennes en dix langues. Il est né de la volonté des journalistes qui réalisaient Presseurop de poursuivre l’expérience après l’arrêt de ce dernier, en décembre 2013.

Editorialement et financièrement indépendant, VoxEurop est géré par une association à but non lucratif, l’Association Presseurop. Il vise à contribuer à la formation d’une opinion publique européenne informée à travers la publication de contenus de qualité, traduits en dix langues.

Pour cela, VoxEurop peut compter sur une équipe de journalistes et de traducteurs professionnels, ainsi que sur les dons des lecteurs et des parties intéressées à la circulation des idées en Europe et à l’émergence d’un espace public européen.

La Commission européenne, qui soutenait financièrement ce projet, avait décidé d’arrêter ce dispositif qui lui coûtait 2 millions et demi d’euros par an. Avec Gian Paolo Accardo comme directeur de la publication de l’ensemble des éditions, il s’agit de se tourner résolument vers l’avenir, à la recherche d’un modèle économique viable, nettement moins dépendant de seules subventions.




Indymedia (ou IMC pour Independent Media Center) est une plateforme américaine de médias alternatifs qui supporte actuellement environ 175 médias internet autonomes dans une soixantaine de pays, avec pour objectif d’assurer la liberté de créer et de diffuser de l’information, en publication ouverte avec une modération a posteriori.

La tonalité des informations se situe à gauche voire à l’extrême gauche, toutefois elle varie selon les antennes locales. Indymedia se réclame d’un discours de promotion du libéralisme anti-sexiste, anti-fasciste et anti-capitaliste, avec une perspective militante parfois révolutionnaire.

Indymedia a été créé par divers organismes indépendants, alternatifs et militants pour couvrir les contre-manifestations de Seattle en 1999, lors de la réunion de l’OMC et du FMI. Le Centre Médias a permis à des journalistes d’échanger et d’envoyer en temps réel des renseignements, articles, photos, bandes audio et vidéo, via son site Internet.

Indépendant Media Center, ou Indymedia, se présente comme une plateforme collective internet proposant actuellement à environ 175 médias installées dans diverses villes autour du Monde, et gérés par des modérateurs, de proposer des informations en permettant à tout un chacun de publier sa propre information / analyse.

Indymedia se considère comme une sorte d’agence de presse gérée collectivement. Chaque IMC est un groupe autonome qui a ses propres statuts, contrôle ses propres finances et prend ses propres décisions par ses propres processus, tout en respectant la base des « Principes d’Unité ».

Indymedia s’efforce d’encourager les gens à créer des médias présentant des reportages indépendants, honnêtes, précis et puissants.

Selon Indymedia, aucune société ne possèderait Indymedia, aucun gouvernement ne contrôlerait l’organisation, aucun donateur unique ne financerait le projet. Indymedia affirme n’être le porte-parole d’aucun parti ou organisation politique. Les articles sont souvent d’une sensibilité libertaire. De même que les personnes individuelles, les organisations ou partis politiques peuvent publier des articles sur le fil d’actualités Indymedia, mais la propagande d’organisations politiques n’est que rarement publiée.

Indymedia finance toutes ses activités par donations. Le réseau finance entièrement sa structure technique avec un budget d’environ deux mille dollars. Selon le site Discoverthworks.org, on trouve parmi les principaux donateurs un certain nombre de grandes fondations américaines.

Principales antennes Indymedia francophones : Indymedia NantesIndymedia Lille, Indymedia Grenoble, Indymedia Bruxelles.

Le site Indymedia.org est classé 1 003e en Grèce et 6 466 en Allemagne, en octobre 2015.

Si vous souhaitez vous forger votre opinion à travers l’expérience d’autres internautes, vous pouvez télécharger WOT.

WOT (ou Web of Trust) est un logiciel gratuit de sécurité développé par la firme WOT Services basée à Helsinki en Finlande.

Il prend la forme d’un plugin ou extension pour navigateur web qui renseigne l’utilisateur sur la réputation des sites Web avant que celui-ci n’y accède.

WOT affiche, en regard de chaque lien vers un site, un indicateur de la fiabilité du site concerné. Cet indicateur prend la forme d’un cercle dont la couleur va du vert (fiable) au rouge (dangereux).

Le système repose sur le crowdsourcing, c’est-à-dire sur les avis émis par la communauté des utilisateurs de WOT.

Je vais continuer à mettre à jour cet article avec plus de médias alternatifs et indépendants. Merci de m’envoyer vos propositions de médias.

Source https://bonnesnouvellesinfo.wordpress.com/2015/10/06/sites-dinformation-independants/